27/10/2003
Communiqué de presse
L'ANSTO (Australian Nuclear Science and Technology Organisation) a annoncé aujourd'hui qu'un transport de combustibles usés était désormais en route pour la France, dans des conditions de sûreté optimales.
En tout, 344 éléments combustibles usés de réacteur de recherche ont quitté l'ANSTO sur un navire spécialement affrété, conçu pour transporter des matières nucléaires en toute sûreté et en toute sécurité. Les emballages contenant la matière ont subi des tests sévères garantissant leur capacité de confinement, même dans des conditions extrêmes.
« La Direction de l'ANSTO, ainsi que les autorités de régulation, se sont assurées que le mode de conditionnement des combustibles usés était parfaitement sûr et sécurisé » a indiqué le Docteur Ron Cameron, Directeur Adjoint de l'ANSTO.
« Le transport a été organisé en conformité avec les réglementations nationales et internationales en vigueur sur la sûreté et la sécurité. »
« De plus, l'ANSTOa collaboré étroitement, ces dernières semaines, avec la police, les services de secours, les autorités portuaires, les dockers, l'ARPANSA (Agence Australienne de Radioprotection et de Sûreté Nucléaire, autorité de régulation) et les autres acteurs compétents, pour préparer ce transport », a poursuivi le Docteur Cameron.
« Les autorités locales et les populations impliquées ont été informées à l'avance de ce transport. Cependant, son itinéraire précis et son calendrier n'ont pas été révélés, pour des raisons évidentes de sécurité. »
« Le niveau de radioactivité mesurable à l'extérieur de ces emballages très protecteurs est infime. Si, par exemple, vous vous teniez près de l'un d'entre eux durant une semaine et ce 24 heures sur 24, vous ne recevriez que la moitié de la radioactivité naturelle enregistrée en 1 an », a-t-il précisé.
Depuis 1963, 5 transports de combustibles usés ont quitté l'ANSTOpour divers endroits du monde, sans que survienne le moindre incident. Le transport en cours est le sixième. Tous opérateurs confondus, plus de 7000 transports de combustibles usés ont été organisés à ce jour.
« Les 344 éléments de combustible transportés représentent 9 années d’exploitation de notre réacteur, durant lesquelles 4 millions de traitements médicaux ont été dispensés », annonce le Docteur Cameron. Cela contribue sensiblement à préserver l’état de santé de tous les Australiens. »
L’acheminement des combustibles usés vers l’usine COGEMA La Hague est une application de la décision, prise par le Gouvernement fédéral australien en septembre 1997, d’implanter une unité de traitement à Lucas Heights, rappelle M. Cameron. Ce transport est le troisième dans le cadre d’un contrat signé par l’ANSTO et COGEMA en janvier 1999.
« Environment Australia, L’Agence Australienne de la Sûreté Maritime, le Bureau Australien de Prévention et de Non-prolifération, ainsi que l’ARPANSA (Agence Australienne de Radioprotection et de Sûreté Nucléaire), ont validé les dispositions prises pour organiser ce transport », a conclu le Docteur Cameron.
En tout, 344 éléments combustibles usés de réacteur de recherche ont quitté l'ANSTO sur un navire spécialement affrété, conçu pour transporter des matières nucléaires en toute sûreté et en toute sécurité. Les emballages contenant la matière ont subi des tests sévères garantissant leur capacité de confinement, même dans des conditions extrêmes.
« La Direction de l'ANSTO, ainsi que les autorités de régulation, se sont assurées que le mode de conditionnement des combustibles usés était parfaitement sûr et sécurisé » a indiqué le Docteur Ron Cameron, Directeur Adjoint de l'ANSTO.
« Le transport a été organisé en conformité avec les réglementations nationales et internationales en vigueur sur la sûreté et la sécurité. »
« De plus, l'ANSTOa collaboré étroitement, ces dernières semaines, avec la police, les services de secours, les autorités portuaires, les dockers, l'ARPANSA (Agence Australienne de Radioprotection et de Sûreté Nucléaire, autorité de régulation) et les autres acteurs compétents, pour préparer ce transport », a poursuivi le Docteur Cameron.
« Les autorités locales et les populations impliquées ont été informées à l'avance de ce transport. Cependant, son itinéraire précis et son calendrier n'ont pas été révélés, pour des raisons évidentes de sécurité. »
« Le niveau de radioactivité mesurable à l'extérieur de ces emballages très protecteurs est infime. Si, par exemple, vous vous teniez près de l'un d'entre eux durant une semaine et ce 24 heures sur 24, vous ne recevriez que la moitié de la radioactivité naturelle enregistrée en 1 an », a-t-il précisé.
Depuis 1963, 5 transports de combustibles usés ont quitté l'ANSTOpour divers endroits du monde, sans que survienne le moindre incident. Le transport en cours est le sixième. Tous opérateurs confondus, plus de 7000 transports de combustibles usés ont été organisés à ce jour.
« Les 344 éléments de combustible transportés représentent 9 années d’exploitation de notre réacteur, durant lesquelles 4 millions de traitements médicaux ont été dispensés », annonce le Docteur Cameron. Cela contribue sensiblement à préserver l’état de santé de tous les Australiens. »
L’acheminement des combustibles usés vers l’usine COGEMA La Hague est une application de la décision, prise par le Gouvernement fédéral australien en septembre 1997, d’implanter une unité de traitement à Lucas Heights, rappelle M. Cameron. Ce transport est le troisième dans le cadre d’un contrat signé par l’ANSTO et COGEMA en janvier 1999.
« Environment Australia, L’Agence Australienne de la Sûreté Maritime, le Bureau Australien de Prévention et de Non-prolifération, ainsi que l’ARPANSA (Agence Australienne de Radioprotection et de Sûreté Nucléaire), ont validé les dispositions prises pour organiser ce transport », a conclu le Docteur Cameron.