17/07/2008
Communiqué de presse
Comme suite à l’incident de niveau 1 survenu à l’usine SOCATRI du Tricastin le 7 juillet dernier, le groupe AREVA a diligenté une enquête interne.
Cet incident est intervenu à l’occasion d’une vidange sur une installation de traitement des eaux, en aval de l’usine d’enrichissement et sans rapport avec les centrales nucléaires du site. Le rejet dans l’environnement résulte d’un défaut d’étanchéité d’une cuve de rétention.
Ce rejet, involontaire n’a eu de conséquence ni sur la santé des personnels et des riverains, ni sur leur environnement.
L’étude de la chronologie des faits (PJ1) indique que les procédures techniques de sécurité ont rapidement été mises en œuvre (mobilisation des équipes, arrêt de l’installation, obstruction du réseau d’eaux pluviales, prélèvement dans l’environnement…).
Le débordement est intervenu à 22 heures. Il n’aurait pas eu de conséquence si l’étanchéité du bac de rétention n’avait pas été défaillante, ce qui a été constaté à 4h45 le 8 juillet. SOCATRI a prévenu les autorités à 7h30 (PJ 2 a&b).
Un manque de coordination évident entre les équipes en charge des travaux et celles responsables de l’exploitation est à l’origine de cet incident.
L’erreur de l’exploitant est aussi d’avoir attendu les résultats des mesures complémentaires pour prévenir les autorités, près de 3 heures.
Les équipes de SOCATRI comprennent l’émotion et les inquiétudes suscitées par l’incident. Elles ont clairement sous estimé cette dimension.
Les équipes d’AREVA se sont rapprochées des voisins ainsi que des maires des communes concernées en leur donnant toutes les informations disponibles en temps réel.
AREVA décide de nommer un nouveau directeur général de SOCATRI avec pour mission de faire une revue globale du fonctionnement de l’établissement et de sa sécurité. Il conduira avec l’aide du groupe un retour d’expérience approfondie de l’événement et sera chargé de la mise en œuvre des conclusions.
Des mesures d’accompagnement vont être proposées aux Chambres d’Agriculture du Vaucluse et de la Drôme à destination des agriculteurs touchés par l’interdiction temporaire d’arrosage.
Dans une logique de précaution, le plan de surveillance renforcé est maintenu. Ses résultats sont communiqués au fur et à mesure de leur disponibilité. Ils sont consultables en Mairie et sur http://www.areva.com/.
Cet incident est intervenu à l’occasion d’une vidange sur une installation de traitement des eaux, en aval de l’usine d’enrichissement et sans rapport avec les centrales nucléaires du site. Le rejet dans l’environnement résulte d’un défaut d’étanchéité d’une cuve de rétention.
Ce rejet, involontaire n’a eu de conséquence ni sur la santé des personnels et des riverains, ni sur leur environnement.
L’étude de la chronologie des faits (PJ1) indique que les procédures techniques de sécurité ont rapidement été mises en œuvre (mobilisation des équipes, arrêt de l’installation, obstruction du réseau d’eaux pluviales, prélèvement dans l’environnement…).
Le débordement est intervenu à 22 heures. Il n’aurait pas eu de conséquence si l’étanchéité du bac de rétention n’avait pas été défaillante, ce qui a été constaté à 4h45 le 8 juillet. SOCATRI a prévenu les autorités à 7h30 (PJ 2 a&b).
Un manque de coordination évident entre les équipes en charge des travaux et celles responsables de l’exploitation est à l’origine de cet incident.
L’erreur de l’exploitant est aussi d’avoir attendu les résultats des mesures complémentaires pour prévenir les autorités, près de 3 heures.
Les équipes de SOCATRI comprennent l’émotion et les inquiétudes suscitées par l’incident. Elles ont clairement sous estimé cette dimension.
Les équipes d’AREVA se sont rapprochées des voisins ainsi que des maires des communes concernées en leur donnant toutes les informations disponibles en temps réel.
AREVA décide de nommer un nouveau directeur général de SOCATRI avec pour mission de faire une revue globale du fonctionnement de l’établissement et de sa sécurité. Il conduira avec l’aide du groupe un retour d’expérience approfondie de l’événement et sera chargé de la mise en œuvre des conclusions.
Des mesures d’accompagnement vont être proposées aux Chambres d’Agriculture du Vaucluse et de la Drôme à destination des agriculteurs touchés par l’interdiction temporaire d’arrosage.
Dans une logique de précaution, le plan de surveillance renforcé est maintenu. Ses résultats sont communiqués au fur et à mesure de leur disponibilité. Ils sont consultables en Mairie et sur http://www.areva.com/.