06/02/2004
Communiqué de presse
A la suite de la réunion d'information organisée le 30 janvier à St Priest la Prugne (Loire) concernant l'expertise radiologique de l'ancienne mine d'uranium des Bois noirs, COGEMA souhaite rappeler les éléments d'information suivants :
- Industriel responsable et soucieux de l'impact de ses activités sur l'environnement, COGEMA a toujours respecté la réglementation.
De 1960 à 1980, dans le cadre de l'exploitation du site, des stériles miniers ont été cédés aux particuliers et aux entrepreneurs de la région de St Priest la Prugne qui en faisaient la demande. Il s'agissait de blocs de roches naturelles présentes dans le sous-sol et entourant l'uranium, présentant une radioactivité peu élevée (de l'ordre de celles des roches de la région), en dessous des seuils réglementaires de l'époque. Depuis, la réglementation a évolué et COGEMA a cessé de céder des stériles miniers aux particuliers à partir des années 1980.
- COGEMA s'est associée aux études radio-écologiques demandées par les populations et les associations locales.
En 1998, un Comité Scientifique réunissant notamment les élus, les associations et COGEMA, a confié le soin de réaliser deux études radio-écologiques à deux laboratoires indépendants : Subathec, de l'Université de Nantes, missionné par l'Etat, et Criirad, missionné par les communes. COGEMA a apporté son soutien à cette démarche en prenant financièrement en charge l'étude menée par Subatech.
- COGEMA adhère aux conclusions principales de ces deux études.
Au regard de celles-ci, le Comité Scientifique a pris la décision de lancer un inventaire des stériles miniers présents dans les différentes communes voisines de la mine, ainsi qu'une campagne de mesures dans un rayon de 3 km autour du site. Une fois les données recueillies, les pouvoirs publics décideront de la nécessité de traiter les présences éventuelles de stériles miniers. En cas d'impact dépassant les normes actuelles (1mSv par an en radioactivité ajoutée à la radioactivité naturelle ; pour rappel, la réglementation jusqu'en 2001 était de 5mSv) selon des scenarii de référence, COGEMA réalisera les travaux nécessaires (recouvrement, décapage…).
Les eaux de la rivière la Besbre répondent aux normes de potabilité.
Une surveillance radiologique est régulièrement effectuée sur les cinq sources situées en aval du site. Les résultats des contrôles - ceux effectués par COGEMA et contrôlés par la DDASS, ainsi que ceux réalisés par Subatech - montrent l'absence de "marquage" radiologique. Les résultats récents présentés au Comité Scientifique montrent que, sur le plan radiologique, l'eau de la Besbre répond aux normes de potabilité.
- Industriel responsable et soucieux de l'impact de ses activités sur l'environnement, COGEMA a toujours respecté la réglementation.
De 1960 à 1980, dans le cadre de l'exploitation du site, des stériles miniers ont été cédés aux particuliers et aux entrepreneurs de la région de St Priest la Prugne qui en faisaient la demande. Il s'agissait de blocs de roches naturelles présentes dans le sous-sol et entourant l'uranium, présentant une radioactivité peu élevée (de l'ordre de celles des roches de la région), en dessous des seuils réglementaires de l'époque. Depuis, la réglementation a évolué et COGEMA a cessé de céder des stériles miniers aux particuliers à partir des années 1980.
- COGEMA s'est associée aux études radio-écologiques demandées par les populations et les associations locales.
En 1998, un Comité Scientifique réunissant notamment les élus, les associations et COGEMA, a confié le soin de réaliser deux études radio-écologiques à deux laboratoires indépendants : Subathec, de l'Université de Nantes, missionné par l'Etat, et Criirad, missionné par les communes. COGEMA a apporté son soutien à cette démarche en prenant financièrement en charge l'étude menée par Subatech.
- COGEMA adhère aux conclusions principales de ces deux études.
Au regard de celles-ci, le Comité Scientifique a pris la décision de lancer un inventaire des stériles miniers présents dans les différentes communes voisines de la mine, ainsi qu'une campagne de mesures dans un rayon de 3 km autour du site. Une fois les données recueillies, les pouvoirs publics décideront de la nécessité de traiter les présences éventuelles de stériles miniers. En cas d'impact dépassant les normes actuelles (1mSv par an en radioactivité ajoutée à la radioactivité naturelle ; pour rappel, la réglementation jusqu'en 2001 était de 5mSv) selon des scenarii de référence, COGEMA réalisera les travaux nécessaires (recouvrement, décapage…).
Les eaux de la rivière la Besbre répondent aux normes de potabilité.
Une surveillance radiologique est régulièrement effectuée sur les cinq sources situées en aval du site. Les résultats des contrôles - ceux effectués par COGEMA et contrôlés par la DDASS, ainsi que ceux réalisés par Subatech - montrent l'absence de "marquage" radiologique. Les résultats récents présentés au Comité Scientifique montrent que, sur le plan radiologique, l'eau de la Besbre répond aux normes de potabilité.