30/09/2003
Communiqué de presse
Le Haut Fonctionnaire de Défense a signé le 24 juillet 2003 un arrêté relatif à "la protection du secret défense nationale dans le domaine de la protection et du contrôle des matières nucléaires" (publié au Journal Officiel le 9 août).
En manifestant aujourd'hui devant plusieurs sites d'EDF, du CEA et de COGEMA, Greenpeace s'insurge contre un prétendu retour en arrière de la politique de transparence de l'industrie nucléaire.
A l'occasion des nouvelles gesticulations médiatiques de Greenpeace, COGEMA souhaite pour sa part rappeler que :
1) Depuis 1999, date de l'arrivée d'Anne Lauvergeon à la présidence du groupe, celui-ci a développé une politique de transparence et d'ouverture sans équivalent dans le secteur industriel : installations de webcams au sein même des usines, numéros verts, communication systématique annonçant les transports de combustibles usés et de résidus vitrifiés, dialogue avec la société civile, notamment les associations environnementales, etc. Ce mouvement d'ouverture et de transparence a reçu une reconnaissance forte de la part du public et constitue aujourd'hui une part du capital de l'entreprise, qu'elle entend préserver et renforcer.
2) S'il appartient au Haut Fonctionnaire de Défense d'expliquer la nature et la portée de l'arrêté, COGEMA a reçu toutes les assurances de la part des pouvoirs publics que sa politique de transparence n'en pâtira pas. Les modalités de communication sur les transports de matières nucléaires notamment vont rester inchangées.
3) En critiquant les mesures prises par les pouvoirs publics, Greenpeace met au jour une contradiction qui sous-tend ses actions : ce sont les opérations de guérilla qui poussent les pouvoirs publics, chargés de la sécurité des transports, à prendre les mesures de protection idoines. C'est cette même inconséquence qui a poussé Greenpeace à rendre publics, sur son site internet, la marque, les plaques d'immatriculation, les lieux de maintenance et les trajets de camions, informations dont elle prétend par ailleurs dénoncer l'utilisation à des fins terroristes.
Contact Presse
Charles Hufnagel / Sophie Renaud / Patrick Germain
T : 01 44 83 71 17
F : 01 44 83 25 52
En manifestant aujourd'hui devant plusieurs sites d'EDF, du CEA et de COGEMA, Greenpeace s'insurge contre un prétendu retour en arrière de la politique de transparence de l'industrie nucléaire.
A l'occasion des nouvelles gesticulations médiatiques de Greenpeace, COGEMA souhaite pour sa part rappeler que :
1) Depuis 1999, date de l'arrivée d'Anne Lauvergeon à la présidence du groupe, celui-ci a développé une politique de transparence et d'ouverture sans équivalent dans le secteur industriel : installations de webcams au sein même des usines, numéros verts, communication systématique annonçant les transports de combustibles usés et de résidus vitrifiés, dialogue avec la société civile, notamment les associations environnementales, etc. Ce mouvement d'ouverture et de transparence a reçu une reconnaissance forte de la part du public et constitue aujourd'hui une part du capital de l'entreprise, qu'elle entend préserver et renforcer.
2) S'il appartient au Haut Fonctionnaire de Défense d'expliquer la nature et la portée de l'arrêté, COGEMA a reçu toutes les assurances de la part des pouvoirs publics que sa politique de transparence n'en pâtira pas. Les modalités de communication sur les transports de matières nucléaires notamment vont rester inchangées.
3) En critiquant les mesures prises par les pouvoirs publics, Greenpeace met au jour une contradiction qui sous-tend ses actions : ce sont les opérations de guérilla qui poussent les pouvoirs publics, chargés de la sécurité des transports, à prendre les mesures de protection idoines. C'est cette même inconséquence qui a poussé Greenpeace à rendre publics, sur son site internet, la marque, les plaques d'immatriculation, les lieux de maintenance et les trajets de camions, informations dont elle prétend par ailleurs dénoncer l'utilisation à des fins terroristes.
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