Le groupe AREVA participe à l'année du Brésil en France baptisée "Brésil, Brésils". Cette opération d'envergure est l'expression de la volonté des gouvernements français et brésilien de renforcer les liens historiques existant entre les deux pays.
Parmi les quelque 300 événements organisés, AREVA a choisi de s'associer tout particulièrement à l'exposition d'ouverture qui se tient aux Galeries du Grand Palais : "Brésil Indien. Les arts des Amérindiens du Brésil".
"Brésil Indien" est l'occasion pour AREVA de participer à la promotion de la culture du Brésil, pays où le groupe est présent depuis plus de vingt ans au travers de ses filiales. Les échanges culturels entre nos deux pays s'inscrivent dans la continuité de notre partenariat industriel.
En effet, AREVA dispose d'une une large implantation au Brésil, avec un chiffre d'affaires de plus de 200M€ et près de 1 500 collaborateurs.
En matière de production nucléaire, le Brésil dispose sur le site d'Angra, près de Rio de Janeiro, de deux réacteurs, dont l'un a été construit par AREVA. En 2005, le groupe a pour ambition d'obtenir le contrat d'achèvement d'un troisième réacteur. Les arguments en faveur d'un mix-énergétique équilibré, faisant une plus large place à l'énergie nucléaire, sont nombreux : le Brésil se trouve dépendant de l'hydroélectrique qui a montré ses limites durant les sécheresses de 2001 et envisage de promouvoir des moyens de production électrique non émetteurs de gaz à effet de serre.
Dans le secteur énergétique, le groupe participe également, à travers sa filiale AREVA Transmission & Distribution, au développement du réseau d'électricité. Celui-ci représente une véritable priorité pour les autorités brésiliennes dans la perspective d'assurer l'approvisionnement électrique au plus grand nombre.
Enfin, pour la partie connectique, FCI, qui compte environ 250 personnes sur le site de Sao Paulo, sert également le marché de la transmission, tandis qu'une autre partie de son activité est dédiée au marché automobile.
22/03/2005
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