11/01/2002
Communiqué de presse
Usine UP2
L'usine UP2 est en intercampagne pour la réalisation de travaux. Au sein de l'atelier de vitrification R7, les chaînes A, B et C sont à l'arrêt.
Usine UP3
À l'usine UP3, sur l'atelier de tête d'usine T1, les opérations de cisaillage d'assemblages d'un lot EDF 1300 MWe se poursuivent.
Le cumul annuel de production est de 27 tonnes d'uranium.
Au sein de l'atelier de vitrification T7, les chaînes A, B et C sont à l'arrêt.
Le juge d'instruction de Cherbourg a rendu le 6 décembre 2001 une ordonnance de non-lieu concernant quatre plaintes déposées en 1997 et 1998 par Greenpeace à l'encontre de COGEMA.
Greenpeace n'ayant pas fait appel, l'ordonnance de non-lieu est devenue définitive. La première plainte avait été déposée après la mise hors d'eau de la canalisation de rejets de l'usine de La Hague lors d'une marée basse exceptionnelle.
Les trois autres plaintes portaient sur la présence de copeaux de tartre, la taille de particules rejetées et la présence sur le domaine maritime d'un morceau de l'ancienne canalisation.
Les non-lieux rendus s'appuient sur deux rapports d'expert, désigné par le juge, qui concluent, pour l'essentiel, à l'absence de pollution et au respect par COGEMA des autorisations de rejets. Cette décision met un terme aux polémiques soulevées en 1997 et 1998 afin de jeter le discrédit sur nos activités.
Elle conforte la réalité de l'engagement de l'usine de La Hague dans la protection de l'environnement matérialisée en 2001 par l'obtention de la certification ISO 14001.
L'usine UP2 est en intercampagne pour la réalisation de travaux. Au sein de l'atelier de vitrification R7, les chaînes A, B et C sont à l'arrêt.
Usine UP3
À l'usine UP3, sur l'atelier de tête d'usine T1, les opérations de cisaillage d'assemblages d'un lot EDF 1300 MWe se poursuivent.
Le cumul annuel de production est de 27 tonnes d'uranium.
Au sein de l'atelier de vitrification T7, les chaînes A, B et C sont à l'arrêt.
Le juge d'instruction de Cherbourg a rendu le 6 décembre 2001 une ordonnance de non-lieu concernant quatre plaintes déposées en 1997 et 1998 par Greenpeace à l'encontre de COGEMA.
Greenpeace n'ayant pas fait appel, l'ordonnance de non-lieu est devenue définitive. La première plainte avait été déposée après la mise hors d'eau de la canalisation de rejets de l'usine de La Hague lors d'une marée basse exceptionnelle.
Les trois autres plaintes portaient sur la présence de copeaux de tartre, la taille de particules rejetées et la présence sur le domaine maritime d'un morceau de l'ancienne canalisation.
Les non-lieux rendus s'appuient sur deux rapports d'expert, désigné par le juge, qui concluent, pour l'essentiel, à l'absence de pollution et au respect par COGEMA des autorisations de rejets. Cette décision met un terme aux polémiques soulevées en 1997 et 1998 afin de jeter le discrédit sur nos activités.
Elle conforte la réalité de l'engagement de l'usine de La Hague dans la protection de l'environnement matérialisée en 2001 par l'obtention de la certification ISO 14001.